50% des SDF qui appellent le 115 n'obtiennent pas de place. Les accueils d'urgence sont saturés. Les centres d'accueil sont souvent anxiogènes, autant pour les travailleurs sociaux que les usagers. Beaucoup de personnes refusent ces structures d'accueil, mal adaptées. De plus, bon nombre de S.D.F., dans un souci de vouloir "préserver" leur dignité, considèrent la rue comme leur habitat, et refusent tout hébergement dans un centre. L'aménagement d'un parc d'iglous isothermes, dont l'emplacement restera à définir, et dont la publicité sera faite par la ville, permettra d'offrir aux sans-abris un "toit" dans la rue, où ils seront à l'abri des intempéries. D'un coût de 150,00 € l'unité, leur nombre pourra être choisi par la commission de quartier.